Le réchauffement récent des relations franco-allemandes, après les propos du Parti socialiste et la campagne de la presse conservatrice en Allemagne, ne doit rien au hasard : il est lié aux échéances politiques outre-Rhin. Les élections générales se tiendront le 22 septembre et le président français parie sur le retour au pouvoir d’une grande coalition regroupant le SPD et la CDU d’Angela Merkel.
Les chances du FDP, l’allié libéral d’Angela Merkel, de dépasser les 5 %, condition mise par la loi électorale pour avoir des députés ...