On s’intéresse aujourd’hui à l’économie brésilienne bien plus pour dénoncer la déforestation de l’Amazonie, qui d’ailleurs n’est pas entièrement située à l’intérieur de ses frontières, que pour analyser ses performances, sa croissance, son inflation ou sa fragilité financière. Le temps n’est pas si lointain où, du fait de l’ascension vertigineuse de sa devise, le réal, le pays s’était retrouvé non loin de la France, dans le classement des principales économies mondiales. Il figurait, avec la Chine, la Russie et l’Inde au ...