La légère révision de la croissance française au deuxième trimestre, qui aurait atteint 0,3% au lieu de 0,2% dans la première estimation comme l’augmentation de la consommation des ménages en biens au mois de juillet (+0,4%) après la baisse observée en juin (-0,2%) ne doit pas faire illusion. Les niveaux restent très faibles et insuffisants pour qu’on puisse prétendre que la France a retrouvé une trajectoire économique satisfaisante. En y regardant de plus près, on serait même tenté de penser que ...