Dans le passé, les crises pétrolières étaient associées à une hausse brutale des cours du baril, comme au début des années 70 ou en 1979, qui avait provoqué une vague inflationniste, suivie d’une action restrictive des banques centrales. En relevant fortement leurs taux, elles avaient déclenché des récessions. Ces derniers jours, c’est la chute des cours du baril, comprise entre 30 et 40%, qui provoque une vive inquiétude. Les marchés financiers, déjà affectés par l’épidémie du coronavirus, ont connu lundi une chute proche de 10%. La ...