En quelques jours, une bonne et une (très) mauvaise nouvelle ont été enregistrées. L’Agence Internationale de l’Energie a révélé qu’en 2014, le montant global d’émissions de CO2 résultant de l’utilisation de l’énergie (hors donc transports routiers) était resté stable. C’est une première car cette stabilité a été constatée malgré la reprise économique. Auparavant elle résultait d’une baisse ou d’une stagnation de l’activité.
Au même moment, Paris était frappé par un épisode de pollution aux particules fines (PM10) d’une extrême ...