Ce premier trimestre de l’année 2016 s’achève donc bien mieux qu’il n’a commencé. Infirmant une fois de plus les analyses et les prévisions de la plupart des économistes, le monde n’a pas été frappé par le dysfonctionnement majeur d’un pays ayant des répercussions au-delà de ses frontières. Il n’y a pas eu davantage de récession parmi les grandes économies développées et la croissance s’est poursuivie, mais à un rythme inférieur à ce qui serait nécessaire pour résorber les déséquilibres nés ...