L’annonce, au lendemain des élections européennes d’un millier de suppressions d’emplois à Belfort a suscité l’indignation et de vives critiques à l’égard du gouvernement. Lors de la cession à General Electric des activités liés à l’énergie d’Alstom approuvée par l’Etat en 2015, il avait été prévu, au contraire des créations d’emplois à hauteur d’un millier. Incapable de tenir cet engagement, le groupe américain s’est vu réclamer par l’Etat 50 millions d’euros de pénalités. Mais les réductions d’effectifs annoncées ne ...